“Du crèpe, un coupon de satin, de la mousseline, de la soie
grège un peu. Blanche bien sûr pour une robe de mariée. Elle avait agencé ses
patrons à partir de modèles démontés, repris au cours d’essayages dans la salle
à manger, et puis cousu, cousu.
Cinquante ans après, ses mains refont les gestes, cousent d’
une aiguille invisible une mousseline impalpable et aérienne. Le résultat est
élégant, comme la robe autrefois, comme elle.” (Archives S.T.)
