Ce courriel, parvenu à la dernière minute, était censé
donner des solutions. C’était juste une longue liste de conseils, que le
rédacteur n’avait lui-même pas
suivis, un catalogue périmé d’évidences dont le simple énoncé frôlait le
mépris. Ou la bêtise. Il n’y répondit pas.
