note 453
Bien sûr : plus question de considérer la photo
comme une réalité transie par un opérateur visionnaire. Le protocole décrit là rejoint celui
des pigeons de la gare de Lyon (voir note 441). Il s’agit de maximaliser la
non-intervention sur l’appareillage qui doit de lui-même s’approprier
l’instant, avec en plus une restitution aléatoire où la rareté est privilégiée.
Le résultat est spectaculaire.