Il s’agissait de récupérer des poubelles virtuelles les
téra-octets d’images inutiles, de
broyer ça dans une moulinette fractale quelconque, de renvoyer le tout dans le
logiciel de montage agrémenté d’une implémentation algorithmique aléatoire. Ça
devait faire l’affaire et remplir quelques heures creuses qu’on aurait
justifiées abstraites parce que nocturnes et donc oniriques. Et bien non, le
rêve était déjà là.
