note 456

Il s’agissait de récupérer des poubelles virtuelles les téra-octets  d’images inutiles, de broyer ça dans une moulinette fractale quelconque, de renvoyer le tout dans le logiciel de montage agrémenté d’une implémentation algorithmique aléatoire. Ça devait faire l’affaire et remplir quelques heures creuses qu’on aurait justifiées abstraites parce que nocturnes et donc oniriques. Et bien non, le rêve était déjà  là.